La guerre du nord [ intrigue adjacente ]

Alors que dans le sud, les légions de Sauron mené par Gothmog combattaient devant la porte noire et que Frodon allait porter et détruire l'anneau dans la montagne du destin, dans le nord, le commandant des armées d'Angmar déchaînaient ses force sur l'Eriador. Le Roi-sorcier étant morts, son commandant en chef avait pris les rênes d'Angmar. Après avoir été vaincu dans le Nord par les rôdeurs, il s'employa à se renforcé dans sa forteresse d'Angmar, que les armées du nord n'avaient pas détruit. Il fit bâtir par ses sbires de nouvelle murailles au alentours de la ville et reconstruisit entièrement Carn Dûm. En vingt ans, ses orques noires se reproduisirent en secret, et tandis que tous les peuples libres de la terre du milieu vivaient en paix et dans la sérénité, Angmar complotait déjà dans l'ombre afin de prendre les terres de l'Eriador.

Halt se trouvait cacher dans un buisson épineux sur le plateau noir, non loin de la nouvelle forteresse de Carn Dûm. Ce qu'il vit l’effara. Cacher dans sa cape gris-moucheté, il observaient les troupes d'Angmar se mettre en marche. Des centaines de d'orcs noirs et de mercenaires corrompus défilaient en rang serré. Même tous les rôdeur de l'ouest ne suffirai pas à endiguer un tel assaut. La petite compagnie descendit du plateau noir par un petit sentier, qui était inexistant auparavant. En effet, Halt était souvent passé par là dans sa jeunesse pour aller espionner le plateau noir : sauf qu'il devait escalader la falaise au lieu de prendre ce sentier. Il suivit discrètement la petite troupe, presque invisible dans sa cape avec son capuchon sur sa tête. Le groupe arriva dans une petite clairière : un autre groupe était déjà présent. L'un des plus grands orcs s'exclama :
"Hum... J'ai cru sentir l'odeur d'un homme, mais je ne le vois nul part.
- Nous laisseront des guetteurs puisqu'il semble que nous sommes espionner de loin, répondit ce qui semblait être le chef des hommes corrompus, Il devront tuer tous ce qu'ils voient bouger.
- Mais si'ils sont nombreux ?
- Je fais confiance à ton odorat."
Mais, Halt ne les espionnait pas de loin, mais bien de très près : Il avait entendu les chefs des deux factions se parlait et savait donc a quoi s'attendre. De plus, ce n'était pas la première fois qu'il se faisait repérer et il avait appris à courir vite, même très vite. Soudain, un des orcs noirs s'approcha et jeta son baluchon au pied du buisson où s'était cacher Halt. En effet, les rôdeurs ont l'habitude de se camoufler dans des endroits sombres et feuillus car c'est là que leurs capes est le plus efficace. Les orcs ont toujours eut un odorat très développé mais pas une bonne vu. En ce moment même, Halt était donc en très grand danger. Il s’esquissa rapidement par un arbre dont le vent faisait ballotter les branches. Mais, ce qu'il craignait arriva...

CHAP-2 : Un départ ardu

L'orc noir qui s'était posé près de sa cache avait sentit son odeur, malgré le vent qui venait du sens opposé. Halt courrait à toute mais sans négliger de ne pas se faire découvrir par d'autres groupes. En effet, la région était totalement envahie par de petites armées de 50 hommes corrompus et orcs. Il entendait derrière lui le sourd et fort bruit de course de la créature ; en d'autres termes, l'orc gagnait du terrain. Mais il avait totalement oublier de faire la chose la plus importante s'il voulait attraper Halt : prévenir ses camarades ; or il ne le fit pas, ce qui sauva probablement la vie Halt.
Halt savait déjà ce qu'il devait faire, mais craignait pour sa vie que d'autres orcs viennent le pourchasser. Sans plus attendre, il banda son arc tout en courant. Il inspira plusieurs fois puis se retourna sans même regarder : il ne devait faire confiance qu'à son ouïe et à son instinct. Une fois de plus, son habiliter fut mise à l'épreuve : mais son tir parti droit dans la direction de son hideux poursuivant et se planta dans sa hanche. Ne pouvant plus courir, l'orc s’arrêta et fit ce que son petit cerveau lui commanda : il beugla de toutes ses forces : ce qui ne fit aucunement les affaires de Halt.
Mais maintenant presque invisible dans sa cape, il ne craignait plus grand chose. Cependant, il attendit le lendemain matin, une fois que la tension qui s'était accumuler le jour passé suite à sa course. Il était plus prudent pour un rôdeur de passer la nuit en terrain ennemis puis de fuir le lendemain quand tout était redevenu calme, que de fuir alors que tous était sur le pied de guerre. Et ce procéder marcha : au matin, il s’esquissa sans aucuns problèmes et sans éveiller l'attention de personnes.



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