A la lisière est

Les chevaux des compagnons d' Araldarion montrèrent une agitation hors du commun qui se transforma en terreure, la pluspart des cavalier furent précipités à terre lorsque leur montures partirent au galot en poussant des hennissements d' horreure, la forêt devint silencieuse, les oiseaux qui piaillaient se turent, pas un bruissement de feuille se fit entendre, un froid mêllé à une brume surnaturel tombat bientôt, un sentiment opressant envahit envahit les lieux, déjà plusieurs gardes tirrèrent leur épées la mine terrifiée.
Le silence dura plusieurs minute, jusqu' a ce qu' un bruit sourd se fit entendre, des traits se dessinèrent dans la brume, il prirent bientôt les contours d' une forme encapuchonnée.
Une "chose" semblable à un spectre de plus de deux mettre de haut sortit des ténebres, un garçon sous le brat, le spectre se mit à marcher vers Araldarion, ses sbires hésitèrent un instant puis se ruèrent sur le spectre, mais une force invisible ou plutôt, un vent glaciale qui semblait émmaner de la chose les immobilisa et les envoya rouler à plusieurs mettre.
Le spectre parla d' une vois sépulcrale qui résonna dans toute la forêt.

Nergal : "Je t' es connus plus acceuillant..."

Nergal jeta un regard ironique sur les hommes d' Araldarion cloués au sol, incapable de faire un geste.

Nergal : "...mon frère."

Araldarion aida ses hommes à se relever...Ils se retirèrent ensuite laissant Araldarion et Nergal seul à seul...

"Et moi je t'ai connu en meilleur santé..."dit il en fixant avec horreur et dégout la "chose"...
Il vit alors un enfant sous le bras de Nergal...

"Est ce Hamélio ? Si c'est le cas laisse le ici. Il sera en de meilleurs mains et surtout en meilleur compagnie...Il te déteste et je doute que cela change avec ton apparence de mort...
Il n'a aucun avenir avec toi... Que prévoit tu pour lui ? Qu'il te suivent dans ta démence ? Ta corruption te fait rêver..."

Le spectre fixa son frère stoïquement, l' affection tout comme l' amitié qu' il lui portait s' était envolée lors de sa transformation en spectre, il n' avait plus rien d' humain.

Nergal : "Non...je ne laisserait pas mon fils ici."

Il s' arreta un instant pour fixer son frère.

Nergal : "Il me hait et j' en suit concsient, c' est d' ailleur cette haine que je perçois en lui quile tranformera en seigneur noir, il n' a pas besoin de "m' aimer" pour suivre mon enseignement. De plus je suppose qu' il sera "mieus" avec "toi", tu es aussis un seigneur sombre je te signal, or, sa haine à notre égard dépasse tout ce que tu pourrais immaginer, j' ai pénetrer son esprit et je sais ce qu' il en est.
Je le garde et le porterait "moi même" en lieu sur."

Il avait d' ailleur sa petite idée la dessus en repensant au royaume caché de Galdarith et Loucas, reste à savoir s' ils l' accepteraient chez eux quelques temps, mais pour cela, il était pres à en payer le prix fort, il n' avait plus confiance en son frère et l' emmener à Barad-Ghot serait plutôt une erreur de sa part, les fortification du Mordor n' était pas encore terminer, il restait encore quelque finition à faire et n' importe qui pourrait tromper l' attention des orcs, pour cela il lui fallait conter sur un seul et ultime recour, la discretion des Elfes Noirs, aussi, c' est pour cela qu' il tenait tant à voir les possesseur de ces lieux, il voulait que son est le meilleur endroit sécurisé ou il n' aurait plus rien à craindre des Hommes et autres Elfes bienveillant, il continua sur un tont serein.

Nergal : "Tu devrais plutôt être content "frère", j' ai put terminer les fortification du Mordor, et j' ai reconstruit la porte noir, reste à savoir si toi tu me fait confiance pour ce coup-ci, mon apparence à peut être changer, mais ton frère est toujours la, devant toi."

l fixa la cime des arbre ayant été épargné par le feu, puis, porta son regar vers Orthanc.

Nergal : "Tu m' excusera, mon très cher frère, mais je n' avait que très peut de temps à t' accorder, nous discuterons de cela en Mordor, chez moi, dans trois nuits je serais de retour à Barad-Ghot, attend moi la bas, et nous pourrons discuter du sujet aussi pleinement que tu le désir, moi j' ai des affaires plus urgentes à règler."

Le corps de Nergal et d' Hamelio toujours inconscient semblèrent s' estomper dans une brumes surnaturel qui se forma autours d' eux, bientôt on entendis plus que l' écos des paroles de Nergal dans le lointain.

Nergal : "N' oublis pas ce que je t' es dis, tu m' attendra en Mordor, chez moi, et je serais entièrement disposé à tes questions qui doivent être nombreuses je le pense."

Le silence retomba, puis le gazouillis des oiseaux reprit ainsi que l' activitée de la forêt.