La Terre du Milieu : Chroniques du Quatrième Âge
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  PortailPortail  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Nike : Jusqu’à 50% sur les articles de fin de saison
Voir le deal

 

 Gadar Narzùl

Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Invité




Gadar Narzùl Empty
MessageSujet: Gadar Narzùl   Gadar Narzùl EmptyVen 31 Mar 2006 - 22:01

Gadar Narzùl 507700200_small

Une vent glaciale ébranlait les fondation de la tour de Barad-Ghot, estimée à une hauteurs de presque une centaine de mètres, la tours sombre dominait largement la cité qui s' étendait à présent à ses pied, longue de plusieurs kilomètre, Gadar Narzul avait été construite peut après la reconstruction des portes noirs, les nuits permanente qui planait sur les terres noirs contrastait parfaitement avec le triste specracle qu' offrait la ville sinistrée...
Une eau putride suintait dans les sombres ruelles aux pavé fendillés, les avenus disparaissaient sous les détritus et la crasse. De la boue nauséabonde giclait sous les bottes des passants.
Les branches de parodies d' arbres morts depuis longtemps se recroquevillaient comme des mains défuntes. Les cheminées de briques noircies crachaient des nuages de soufre qui striaient le ciel de traînées d' un gris à glacer les sangs. La pluies qui ne cessait de tomber depuis des jours avait la couleur de la cendre.
En bordure des routes les logis offraient un aspect sinistre et opressants. Des hommes au regard de fouinne, aux habits maculés de boue tenant compagnie à des hordes d' orcs et d' Uruk haïe se regroupaient sous les porches d' édifices hauts de plusieurs de dizaine de mettres coupant ainsi toute luminosité qu' offraient les rayons du soleil qui tentait désesperement de traverser la masse sombre de nuage qui survolait les terres du mordor depuis une éternitéCertains passant à l" allure douteuse dévoilaient parfois leurs dents jaunies à cause de sourires qui n' avaient rien d' amical.

Dans les rues boueuse, une personne encaouchonnées se frayait un passage à travers toute la racaille d' orcs qui se trouvait dans son sillage, Larn retira sa capuche un moment pour porter son regard inexpressife sur le spectacle de désolation qui se portait autours de lui avant de continuer sa route vers la tours sombre logeant le nouveau seigneur du Mordor ayant succedé à Araldarion sept ans plus tôt.
Larn fit un détour pour éviter un tas de saltés, avant de s'apercevoir que c' était en réalité le cadavre d' un homme poignardé, à demi rongé par les rats.


Larn : "Hum..."

Il continua son chemin sans se soucier du mort, Larn n' était lieutenant de Tyranthraxus que depuis quelque mois, son habilité au combat et sa force en faisait quelqu' un d' à part, ce qui avait plu à Nergal, chose rare, car nombre de guerrier agueri se disputaient ses faveurs.
Il croisa un groupe de mendiant vêtus de haillons à l' odeur rance, lorsqu' il vit l' homme encapuchonné, ceux-ci commencèrent à le harcelé.


Larn : "Hors de ma vue misérables larves."

Une violente bourrade les avait disuada de s' approcher plus, Les mendiants poursuivirent leur chemin, une odeur putride plana dans leur sillage.
Il arriva en vu de l' immence édifice qu' était Barad-Ghot. Il y avait plusieurs décennies ; on l' avait bâti à l' époque où Sauron reignait en maitre sur une bonne partie de la terre du milieu, la tour servait de lieu d' habitat à ses lieutenant avec Barad-Dùr, jusqu' au jours ou après la mort de Gargaroth un seigneur noirs, plus inteligent que les autres, les avaient l' un après l' autre aservit ou tuer.
Soudain, quatre hommes en haillons jaillirent d' une ruelle adjacente, titubant et riant à gorge déployée comme à une plaisanterie obscène. Ils s' interposèrent entre Larn et Barad-Ghot.
Leurs rires moururent d' un coup, ainsi que leur ivresse simulée. En un clin d' oeil, ils redevinrent parfaitement sobre. Et ils étaient bien armés.
Un grand borgne pointa une épée rouillée sur Larn.


Brigant : "Donne moi ton or, mon garçon, et peut être que tu gardera ta tête sur les épaules."

Larn : "Impudent..."

Il eut un sourire malsain.

Larn : "...viens."

Le chef des coupe-jarret éclata de rire.

Brigant : "Comme tu voudras."

Avec une rapidité impensable, Larn lui agrippa le poignet droit et le lui tordit ; l' épée rouillée chuta sur les pavés. Une torsion brutale entraîna un claquement sec ; l' homme poussa un cri de douleur, le bras cassé.

Larn : "Douloureux, n' est ce pas?"

Il tira une épée d' ébène et l' enfonça dans la bouche du brigant, son cris se transforma en gargouilli, puis il s' écroula au sol.
Larn retira sa cape, laissant apercevoir une cuirasse frappé à l' emblême de Tyranthraxus.


Larn : "Au suivant."

Les trois autre se bousculèrent dans leur hate de tourner les talons, Larn les regarda fuire tout en pensant calmement.

*Chien*

Il parvint aux porte de la tours sans autre incident. Deux soldats appartenents à la garde royale le laissèrent passer en constant son emblème, les portes massives de la tours s' ouvrurent d' elle même, il traversa un gigantesque hall aux mures recouvert de gravures représentant des gargouilles et autres créatures toutes plus hideuses les unes que les autres, il entreprit de monter les marche qui menait en haut de la tour.
Larn arriva dans une salle encore plus immence que le hall, plusieurs mètres en contrebas, des colonnes d' onyx supportaient une façade aux multiples frises représentant de scène de combat épique ayant marqué l' histoire de la terre du milieu.
au centre de la salle se trouvait plusieurs intendants destinné à remplacer le seigneur des terres noires lors de ses rares abscences, ceux-ci étant accompagné par la gardes royale virent le jeune lieutenant.


Intendant : "Nous attendions votre venu avec impatience, seigneur."

L' homme petit et traput s' inclinna devant Larn, tout comme sa caste l' exigeait, l' homme était peut être intendant, cependant il était consideré comme inferieure au lientenant de Tyranthraxus, leurs rôle se limitait seulement à représenter Le seigneur du Mordor en cas de condeille les obligent à converser avec les autre race ennemi ou alliés, peuplant la terre du milieu.

Intendant : "Le seigneur Tyranthraxus va vous recevoir."

L' intendant fit signe à deux gardes de l' accompagner et se dirigea vers une rangée de marche assez large qu' il entreprit de gravir, leur monté achevée, une nouvelle porte massive se tenait devant eux, celle-ci était couverte de gravure représentant des scène plus ou moins importante montrant la présence d' un homme d' assez grande taille, vêtu comme un prince accomplissant différentes tache en compagnie d' un autre homme vêtu d' une armure, jusqu' à une ligne marqué de runes aux symboles funeste, après la ligne l' homme avait disparut et une silhouette imposante, sans visage était représenté à la place, Larn nota qu' une seule chose n' avait pas changé sur les deux personnages d' apparence différente, l' épée, l' épée que l' homme et la chose portait était la même.
Un crissement sonnore le sortie de ses pensées, les portes s' ouvrirent pour laisser la place à une grande salle sombre et opressante, devant lui s' offrait une pénombre d' une noirceur scintillante : onyx, ébène et jais s' y mêlaient...C' était d' une beauté à couper le souffle.
Larn avait du mal à comprendre ce qui se passait, la pièce irradiait de la magie de ténnebres, c' était comme si...il pouvait voir la texture même de l' obscurité.
Un sifflement se fit entendre, d' abors inaudible puis plus fort, Larn put distinguer dans ce sifflement un mot.


Nergal : "Approches"

Larn baissa la tête et avança, la voix avait quelque chose d' attirant, elle resemblait à un sifflement cependant, il y avait quelque chose d' autre une voix sans timbre, sans tont, à la foix glaciale et sensuelle, Larn ne pouvait distinguer ce qui se passait devant lui, mais il ne pouvait s' empêcher d' avancer, comme si ses jambes obéissait à quelque d' autre mais le pire dans tout cela était qu' il n' en avait pas peur comme si cela avait été normal, ce dont il était sur, c' était qu' il se rapprochait de quelque chose, il ne voyait pas quoi, mais il pouvait le sentire, arrivé devant un hotel, il s' arreta et tomba à genou.

Nergal : "Releve toi...sais tu pourquoi tu te tient à présent devant moi, jeune homme."

Larn releva lentement la tête pour distinguer la chose qui le dominait, un être sans visage, la réplique exacte des gravures qu' il avait entre aperçut sur la porte de la salle.

Larn : "Non, seigneur Tyranthraxus."

Le spectre s' adressa au jeune homme d' un tont paternel.

Nergal : "Cela ne saurait tardé, mon garçon...ce que j' aurrais à te dire ne quittera pas cette pièce car il s' agira de ma confiance qui erra remis entre tes main...cependant, sache que si tu me trahit, le chatiment réservé au traitre te sera affligé."

Hors de la pièce l' intandant attendait avec patience la sortie du jeune homme, faisant tourner une pièce de monnaie dans ses doigt, au bout d' un temps qui parut interninable, les portes massives s' ouvrirent pour en laisser sortir le jeune lieutenant.

Larn : "Préparez moi une monture, je pars pour Minas Morgul"

A la demande de Larn une créature ressemblant à un dragon fut mis à sa disposition, une demi heures plus tard, l' intendant contemplais la silhouette massive de la créature ailée s' envoler pour Minas Thirit.


Dernière édition par le Sam 1 Avr 2006 - 11:25, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
 
Gadar Narzùl
Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
La Terre du Milieu : Chroniques du Quatrième Âge :: ARCHIVES :: Archives du Mordor-
Sauter vers: