Le retour de Nergal

Une vapeur sombre, ténébreuse et toxique se formait au alentours de la tour du mal, Barad-Ghot, le nuage noir prit la forme d' un chose encapuchonnée, c' était Nergal au buot d' une longue absence, il rentrait dans son domaine et il allait établir un changement radicale, il reprendrait le contrôle de la tour.
Il saisie le loquet de la lourde porte qu' il ouvrit avec facilitée grace à son brat métalique, la porque claqua contre les cotés, produisant une longue et inquiètante raisonnance dans la tour, très vite des orcs, ses propres orcs rapliquèrent, suivient de son générale, Darkor, il ne reconnut pas Nergal, ce qui était évidant, comment savoir qu' un spectre de deux mètre sans visage doté d' une protèse en acier lourd avait été jadis un "petit" seigneur noir avec des ambitions minables et pitoyable, et pourtant Nergal avait été cet homme la, ses sentiments de mortelle l' avait aveuglés sur sa vrai cause, son véritable but, à présent, peut lui importait de reigner sur la terre du milieux, la puissance etait à présent ancrée dans son esprit, en voyant ses serviteurs arriver, il tonna.[i]

Nergal : A jenou devant votre maitre.

[i]Darkor, terrifié s' exécuta devant Nergal sans demander son reste.

*Regardez moi ça, ces petits agnaux obéissent devant une puissance et un carisme supérieure au leur.*

Le spectre continua.

Nergal : "C' est bien, je vois que vous n' avez pas perdu une goutte à votre soumission, cependant, votre manque de tacte me décois, je vous avais connu plus courageut Darkor."

Le serviteur, toujours ajenou releva lentement la tête, tramblant de peur.

Darkor : "S...seigneur Nergal, est...est ce bien vous?"

Nergal : "Oui"

Il y eut un silence pesant.

Nergal : "Relève toi, je n' aime pas savoir un couard dans mon domaine."

Si nergal n' aurait pas eut ce trou béant que possèdent les spectre à la place du visage, on aurait put distinguer un éclaire dans les yeux du seigneur noir.

Nergal : "Et encore moin les parjures, je t' ordonne de me faire quérire la Nùménoréenne, celle dont j' ai fait l' erreure de confier la tour de Barad-Ghot."

Nergal avait intercepté la lettre de Marya, cela avait été facile car il avait aperçut l' aigle qui volait en terre noir, or aucune vie n' était présente et n' avait la chance d' exister dans le Mordor, il avait facilement fait venir le rapace à lui grace à la possession mentale et s' était aperçus de la lettre et la félonie de la jeune femme, seulement, cela ne l' inquiétait pas pour autant, il avait été au service de Galdarith, malgré lui lors de sa transformation en mort vivant et il pourrait en faire un allié, car il était à présent semblable à lui, il était un spectre, "grace" à lui c' est pourquoi, Galdarith lui inspirait un profond respecte, d' ailleur, Nergal avait un vague aperçut sur ses idéologies, mais revenons en à nos mouton, Nergal re lut la lettre de Marya.

Citation :

Monseigneur Galdarith,
Je suis Marya, femme de Zethorn, votre fils. J'ai pris ma décision et je désire me joindre à vous, mon plan a marché, votre concurant est tombé dans mon piège. Il m'a confié sa cité, venez me rejoindre avec votre armée pour nous emparer de celle-ci.


Dite à Zethorn que je m'excuse et que je l'aime, je lui expliquerais...


Au revoir,
Marya

Nergal : "Ainsi l' heure est à la trahison, soite, mais elle en paira le prix fort, j' aime jouer à ce genre de jeu."

Nergal ne montrerait en aucun cas la lettre à Marya et ne parlerait pas de sa trahisont à son égard, il se montrerait encore plus malsaint qu' elle, le mal était son domaine, il la féliciterait d' avoir gardé la tour et jourait le jeu en lui faisant croire que son plan tournerait à merveille, par la suite, il se rendrait "lui même" chez Galdarith et lui montrerait "lui même" la pitoyable lettre destinée à le nuire, car si Galdarith possédait effectivement un fils, il lui donnerait une chance de prouver sa valeur, mais si en revanche, il paresserait inconpetant c' est d' ailleur ce que soupçonnait Nergal, il ne lui laisserait pas de deuxième occasion, mais ce n' était qu' une simple suposition, car Nergal ne connaissait pas assez bien Galdarith, mais il savait qu' il pouvait se montrer "imprévisible", c' est d' ailleur ce qui montrait son meilleur atout, "finesse" et "sobriété", voila l' une des raison qui poussait Nergal à respecter Galdarith, c' était un personnage pour le moin énigmatique.
Le spectre s' assit sur le tronne et attendit l' arrivée de Marya.

Marya avait entendu que Nergal était revenu, elle ne voulait le voir en aucune façon.

*Est-ce que j'y vais ? Je vais chez Galdarith ! Il m'a demandé son aide !*

Elle monta sur son cheval, souffla dans un petit cor, pour que Nergal regarde par la fenêtre. Elle lui fit signe, sourit, puis partit au galop dans l'antre de Galdarith

*Saleté de Nergal ! Quand je pense que je l'ai embrassé ! Pouah*

Marya continua sa chevauchée, craignant que Nergal la nuise

Nergal vit la Nùménoréenne partir, son plan fonctionnait, elle avait du savoir, par un moyen ou un autre qu' il était en position de la lettre, mais cela n' atrista en aucun cas le spectre, il parla ironiquement.

Nergal : "Partire si vite, il n' est pas convenable de quitter l' hospitalitée que je lui est offerte sans un remerciment."

Il éclata d' un rire guturale.

Nergal : "Mais malgré elle, cette femme tombe dans mes griffes, c' est grace à Galdarith que je suis devenu..."inhumain", mais je lui laisse la surprise, face à Galdarith, elle peut s' attendre à des imprévue, de plus, pénetrer en territoire Drow peut s' avèrer "acceuilliant", Ha ha ha ha ha ha ha."

Nergal s' adressa à Darkor.

Nergal : "La seul fidelité que je possède est à mes cotés, je te confie la tour, veilles à ce que personne ne pénetre à l' intérieure, veille aussi à ce que la création des Uruk-haï se passe sans rixe, je connait la délicatesse de mon armée, alors n' ésites pas à employer la force si il leur prenait l' envie de se dévorer entre eux."

Sous la tour de Barad-Ghot se déroulait une véritable "usine" à Uruk-haï où des centaines de ces créatures hybrides resortaient chaque jours, avides de servirent leur maitre.

Darkor : "Bien seigneur Nergal."

Nergal : "J' oubliait, renforce la surveillance et rassemble une centaine d' orcs au pied de la tours, moi je m' absente."

Darkor : "Il sera fait selon vos désires, maitre."

Nergal s' évapora dans un nuage de miasme, laissant derrière lui, l' odeur fétide de ses chaires en décomposition.