La Terre du Milieu : Chroniques du Quatrième Âge
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 *Encore du plagiat!Nérond se prend pour Chrétien de Troyes*

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Nérond Ossian Homerick

Nérond Ossian Homerick


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MessageSujet: *Encore du plagiat!Nérond se prend pour Chrétien de Troyes*   *Encore du plagiat!Nérond se prend pour Chrétien de Troyes* EmptyDim 20 Déc 2009 - 23:34

CAMLANN … 519 …



Ce nom devait résonner dans le ciel en paix de Bretagne, tel un bruit de tonnerre, et annoncer le retour en des temps obscurs … La fin de l’ère arthurienne entraîna la désagrégation du royaume celte et l’essor des tribus dites « barbares » ( saxons, jutes et angles ), qui ne tardèrent pas a s’emparer de l’île toute entière … Ce fut donc la division des bretons qui devait sceller leur destin, leur perte, et celle de toute une civilisation … Et se faisant, mettre un terme au règne glorieux et lumineux du haut roy Arthur . Cette discorde interne, ce fléau, ce poison insidieux prit corps en la personne d’un démon à visage humain ( au faciès d’ange? ) : Mordred Pendragon d’Orcanie…


C’est lui, le neveu du haut roy, le chevalier de la table ronde, mais également et surtout le tyran d’Orcanie, le fils préféré de l’immonde Morgause ( qui avait jurée la perte de son demi frère ), qui devait provoquer la chute d’Arthur et l’échec de la résistance bretonne . Pour ce faire le félon entreprit de corrompre ou menacer nombre de vassaux du haut roy, déçus ou jaloux … L’âme humaine étant si vile et nauséabonde, parfois . De plus, afin de grossir ses rangs, et pour être assuré de l’emporter, Mordred n’hésita aucunement a contracter une alliance perfide avec les ennemis mortels du royaume : les saxons ! Aucune traîtrise, aucune compromission ne paraissaient assez indignes au serpent d’Orcanie : dès lors que seules son ambition ( démesurée ) et sa haine ( infinie ), gouvernaient son esprit et animaient son action …

Alors qu’Arthur, et la plupart de ses chevaliers, guerroyaient sur le continent, contre les ennemis des alliés armoricains du haut roy; Mordred mobilisait ses troupes, ralliait les seigneurs félons et les armées saxonnes . Puis, ceci fait, tous, se ruèrent sur Camelot . Après une vaillante résistance, la cité tomba entre les mains du démon, qui ne tarda point a s’emparer de la reine Guenièvre … Alors les noces entre le tyran et l’épouse d’Arthur furent annoncées ( idée scélérate qui ne pouvait germer que dans l’esprit malade de l’orcanien ), l’union devant symboliser la nouvelle ère qui s’ouvrait . Fou de colère, Arthur rejoignit sans tarder la Bretagne, après avoir échappé à la terrible flotte saxonne, et prépara ses derniers partisans a affronter le pire des défis …

C’est dans la vaste plaine de Camlann, non loin des côtes, que se rencontrèrent les deux armées : l’une pléthorique et ivre de sang, celle de Mordred et ses alliés; et celle plus réduite, mais tout aussi déterminée, que constituaient les derniers fidèles du glorieux roy . Une fois encore, Arthur allait brandir bien haut Excalibur au nom d’une noble cause, et une fois de plus, ses dignes et loyaux chevaliers, sir Lancelot à leur tête, se battraient pour le triomphe de la Justice en ces terres ! Hélas, le sage Merlin n’était plus là pour aider utilement son vieil ami, tandis que Morgause, elle, était présente dans le camp de son fils . Cloîtrée dans sa tente personnelle, occupée qu’elle était a scander des formules occultes et malfaisantes … La sorcière entendait ainsi favoriser la victoire probable de son diabolique rejeton .

La bataille fatidique s’engagea au petit matin, alors qu’une tempête éclatait, soudainement. Tempête que nul n’avait prévu, mais qui réjouit grandement Mordred, qui y vit là, un signe du destin … C’est donc sous une pluie battante que les deux armées se chargèrent mutuellement … Les éclairs zébraient le ciel ténébreux et le tonnerre, qui ne cessait de gronder, couvrait les hurlements guerriers, le hennissement des montures, l’entrechoquement et le martèlement des armes, les râles de douleurs … La boue « engluait » combattants et chevaux, et la pluie d’orage n’arrivait qu’à grand peine a « laver » la terre déjà maculée de sang . Les deux cavaleries se heurtèrent l’une l’autre dans un fracas atroce ou le bruit des os brisés répondait aux cris déchirants des destriers . Les chevaliers qui ne mettaient pas promptement pied à terre étaient projetés au sol, puis allaient s’empaler sur une lance ennemie, ou étaient occis après un vain combat .Car la piétaille des deux armées ne tarda point a entourer la masse compacte des cavaliers, puis a fondre sur leurs adversaires respectifs … La mêlée devint alors confuse et la violence des combats s’intensifia, tandis qu’un épais brouillard s’abattait sur le champ de bataille . Aux prouesses des compagnons d’Arthur, les saxons et les partisans de Mordred opposaient leur sauvagerie sans bornes … Mais les fiers partisans du haut roy s’obstinaient a se battre avec l’énergie du désespoir, face à un ennemi supérieur en nombre . Aussi, chaque guerrier du Roy qui tombait, réussissait a entraîner plusieurs félons avec lui . Les grands chevaliers d’Arthur, les premiers, montrèrent l’exemple et réussirent longtemps a tenir en échec les soudards de l’Orcanien … Le Roy lui-même fit montre d’une témérité inouï , tel un lion lâché dans l’arène . Munis d’Excalibur, il semblait invincible et nul ne pouvait lui résister … Son perfide neveu, prit, lui aussi, part au combat, mais étroitement encadré par sa garde personnelle . Tout adversaire qui tentait de s’en prendre à Mordred était percé de plusieurs coups avant d’être lâchement achevé par le tyran … Après plusieurs heures de combats acharnés, quelques petits groupes ( épars ) de soldats royaux, commandés par les chevaliers survivants, continuaient, coûte que coûte a résister . Repoussant sans cesse leurs assaillants, dont le flux ne semblait jamais vouloir se tarir … La plaine était désormais jonchée de cadavres et de membres tranchés, alors que les pluies torrentielles charriaient les litres de sang répandu depuis le matin . Les anges n’en finissaient plus de verser leurs larmes d’amertume, à la vue de ce désolant spectacle … Tandis que les éléments se déchaînaient, à l’image des combattants, ivres d’exploits, de sang ou … d’argent . Les Dieux criaient leur colère à l’adresse de leurs créatures, sourdes et aveugles à leurs célestes signaux … Les guerriers étaient tout à leurs jeux, pris, enivrés, par leur propre folie meurtrière .
Pourtant, les trombes d’eaux et les rafales de vent qui assaillaient les belligérants depuis le début de la bataille, ne facilitaient guère la tâche des uns et des autres . La tempête « s’ingéniait « a faire cesser l’affrontement, en pure perte : le ciel était, ici, impuissant face à l’appétit de conquêtes et de gloire des guerriers …
Alors que les derniers partisans d’Arthur étaient sur le point de succomber, submergés sous le nombre et terrifiés par la barbarie de leurs ennemis, sir Lancelot prit la tête d’une poignée de cavaliers … Le brave chevalier, dont l’armure étincelante était couverte de sang et de boue, avait la ferme intention d’atteindre Mordred afin de l’abattre . Lorsqu’il vit fondre sur lui son pire adversaire, le tyran tressailli : ses hommes semblaient incapables de stopper l’avancée inexorable du meilleur des chevaliers … Une flèche mit fin à la charge de Lancelot : celui-ci chuta à terre, et le démon recouvra le sourire … Il savoura, ensuite, le trépas de son ennemi juré : occis, massacré par ses séides . Puis tout les autres chevaliers tombèrent un à un, transpercés de toutes parts et broyés sous la masse ennemie … Comme si l’âme de la résistance terrassée, la lutte devenait soudain, bien vaine et la mort, inévitable .

Les autres soldats royaux furent promptement tués ou capturés : Mordred et ses amis triomphaient, au prix de lourdes pertes … Une voix pourtant retentit, au milieu des rangs orcaniens et saxons : celle, impérieuse, d’Arthur :

« Mordred !! Vile canaille ! Ose venir m’affronter et achever ton œuvre !! «

Le haut roy se tenait, à présent, en face de son félon de neveu, encadré par quelques soldats, plus morts que vifs, et attendait fièrement la réaction du démon … Arthur, qui n’avait plus d’autres protections que sa côte de mailles, n’avait plus rien a perdre : si ce n’est son honneur . Le noble souverain était résigné et n’avait plus qu’un seul et unique espoir : qu’on le laisse périr les armes à la main … Dans un ultime combat en forme d’adieu à ce rêve, le sien, qui devint réalité et qui allait disparaître, tel un songe, un mirage … Dans les brumes de cette journée maudite !
Arthur brandit, alors, pour la dernière fois, l’épée de pouvoir, et soudain, la pluie cessa, puis les nuages s’écartèrent pour laisser filtrer les divins rayons du soleil … Ceux-ci vinrent frapper la lame d’Excalibur et la puissante épée se mit a étinceler . Les ennemis du Roy, les plus proches, en furent aveuglés et reculèrent, effrayés . Un vent de stupeur balaya les rangs coalisés et Mordred, lui-même, en fut fort troublé … L’effet que produisit ce phénomène étrange, cette curieuse coïncidence, retombé, l’un des lieutenants du tyran, sir Kadoudal, glissa à son maître :

« Laissez moi le privilège d’égorger ce pourceau, monseigneur ! «

Mais le roy d’Orcanie n’était pas disposé a se dérober devant son destin, et ce qu’il prenait pour une prophétie, favorable de surcroît : abattre, lui-même, Arthur et … ceindre sa couronne ! Mordred pensait devoir et pouvoir le faire : son oncle exécré n’était il plus, d’ailleurs, qu’une proie affaiblie et prête a subir son « châtiment » ? Son heure était venue et l’ignoble tyran voulait parachever son geste de rébellion, sa trahison, en achevant l’ours royal . L’orcanien considéra sa mère Morgause, qui se tenait non loin de lui, puis déclara, avec hauteur :

« Il me reviens, à moi seul, de mettre fin à l’agonie de … mon cher oncle ! «

( * ) Ce combat, ce duel, il devait le mener, il le fallait absolument : nul autre que lui ne devait occire ce parent qu’il « aima » passionnément haïr … Mordred sauta alors au bas de sa monture, on lui ôta sa cuirasse et son casque, puis ceci fait, l’orcanien tira enfin son épée, et … Se rua aussitôt sur son rival, espérant ainsi le surprendre et en finir au plus vite . Le tyran tenta d’atteindre Arthur au visage mais celui-ci bloqua la lame de son ennemi : le choc fut si violent que la pointe de l’épée du félon se brisa … Profitant de la surprise de son adversaire, le Roy infligea alors un puissant soufflet à celui-ci qui chuta à la renverse . Arthur désarma ensuite Mordred d’un coup de chausse, puis posa la pointe d’Excalibur sur sa gorge … Tandis que le tyran pestait contre lui-même, des archers orcaniens prenaient Arthur pour cible . Ce dernier déclara à l'assemblée :

« Je ne demande point votre clémence, mais vous supplie de rendre sa liberté à la Reine ! «

Il fixa ensuite son neveu et l’interrogea du regard . Mordred grimaça et fit mine d’acquiescer …

« Très bien ! La Reine pourra quitter Camelot pour le continent, mais ne devra point espérer demeurer en Bretagne ! «

En signe d’acceptation, le haut roy remit son épée au fourreau, puis recula de quelques pas … Le tyran, lui, se redressa et .. . S’avança vers son oncle pour lui faire l’accolade . Interdit et réticent, Arthur ne broncha pas mais accueillit le geste ( de paix ? ) du félon avec froideur … Mordred était, lui, tout sourire .

« Maintenant, embrassons nous mon oncle ! Car les liens du sang … priment sur toutes choses! «

Mais lorsque le démon voulut lui faire un baiser, le Roy se méfia et tenta de le repousser : trop tard …

Mordred se saisit de la dague qu’il cachait dans son dos et porta un coup mortel à Arthur : ce dernier, effaré, vacilla . L’orcanien le fit ensuite basculer en arrière d’un violent coup de pied … Le Roy s’affala sur le sol et l’immonde tyran se retourna, triomphant, vers ses alliés …. Mal lui en prit : quand le félon se précipita sur son ennemi pour l’achever, celui-ci avait déjà reprit Excalibur en main, et Mordred alla "s’empaler" sur l’épée . Le cri déchirant de Morgause fut la dernière chose qu’entendit son fils préféré, avant de sombrer dans le néant … Arthur perdit lui aussi connaissance . ( * )

Aussitôt les derniers soldats royaux furent occis, et le corps inanimé du souverain d’Orcanie fut transporté jusqu’au camp de base des coalisés . On lui dispensa des soins mais la blessure semblait trop grave … Les vainqueurs se désintéressèrent du cadavre d’Arthur et même d’Excalibur .

Le soir même, alors que les orcaniens dormaient profondément dans leurs tentes respectives, les saxons et quelques seigneurs bretons ( désormais habitués a trahir sans cesse ), décidèrent d’agir … Ceux-ci s’employèrent, sans l’ombre d’un remord, a égorger ou étouffer leurs anciens alliés dans leurs sommeils . Quelques uns réussirent a s’enfuir, d’autres furent capturés afin de servir d’esclaves … Les loups enragés se dévoraient allègrement entre eux ! Morgause, qui avait pressentit cette félonie, quitta le camp avant la tombée de la nuit avec une légère escorte et … son fils mourant .

A l’aube, alors qu’un soleil rouge sang illuminait le ciel de ses premiers rayons, Girflet, le fidèle écuyer d’Arthur, qui avait survécut, alla se recueillir auprès de la dépouille de son maître … Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il entendit le haut roy lui parler . Et avant d’expirer, Arthur demanda à Girflet de précipiter Excalibur dans le lac le plus proche … Celui-ci, après avoir pleuré de chaudes larmes, s’exécuta, non sans réticences . Quand il revint auprès du Roy, il constata avec stupeur que le corps n’était plus là, puis, en proie à un vif désarrois, l’écuyer porta son regard humide vers la mer … Ce qu’il vit le stupéfia, puis l’émerveilla : une frêle esquif s’éloignait du rivage . A son bord trois prêtresses d’Avalon, dont Morgane la fée, veillant sur la dépouille d’Arthur, « endormit » à jamais …


Peu de temps à la suite de Camlann, les saxons et leurs alliés angles s’emparèrent de la Bretagne toute entière … La reine Guenièvre put rejoindre le continent et le duc de Cornouailles se proclama roy des bretons . Ainsi le pays de Galles et la Cornouailles continuèrent a résister aux vainqueurs d’Arthur, de même que les peuples picte, au nord de l’île . Néanmoins, de nombreux bretons préférèrent s’exiler en Armorique, que de demeurer … Avalon, tomba définitivement dans l’oubli . L’Orcanie ne tarda guère, elle aussi, a être soumise par les saxons . Morgause et Agravain s’empressèrent donc d’aller se réfugier aux Orcades, mais ils n’étaient pas seuls : un mystérieux personnage les accompagnait … L’individu garda son identité secrète durant tout le voyage de Glastonbury à Kirkwall : la Reine et son fils présentant l’inconnu comme un ancien conseiller du tyran défunt … A leur arrivée aux Orcades, les trois orcaniens s’installèrent dans un monastère et firent preuve de la plus grande des discrétions ( même le roy Emerick ignorait qu'ils fussent présents en son royaume ) . Et pour cause, le secret qu’ils devaient garder était d’importance : Mordred avait survécut ( par miracle ) à ses blessures, et entendait rester caché le temps nécessaire avant … un éventuel ( hypothétique ? ) retour en Orcanie ...

Pour l’ex tyran honnit, une longue attente commençait … Propice à la méditation et … à l’introspection : l’épreuve de sa vie .



( Modifications, choix alternatifs : Arthur contre Mordred ) :



( * ) Après avoir hésité un instant, le Roy tendit la main à son neveu et celui-ci ne tarda point a s’en saisir . Une fois sur pieds, le tyran ne relâcha pas son emprise sur le bras de son oncle et de l’autre main alla chercher la dague qui se trouvait dans son dos … Et c’est en esquissant un odieux sourire que le démon frappa Arthur, au ventre : le blessant ainsi mortellement . Il bascula sur le sol, effaré, se sentant bel et bien condamné … ( * )


Ou encore :


* Mordred se précipita tel un dément enragé sur son oncle et tenta de lui porter un coup au visage … Arthur bloqua la lame du félon et le choc fut si violent que la pointe de l’épée du tyran se brisa . Profitant de la surprise de Mordred, le Roy s’empressa de lui infliger un puissant soufflet, l’envoyant ainsi au sol … L’orcanien ne tarda point a se redresser, ivre de rage, et chargea de nouveau son rival . S’ensuivit une série d’échanges ou Mordred tenta à plusieurs reprises d’atteindre son ennemi, du tranchant de son arme, tandis qu’Arthur se bornait a parer les coups de son adversaire … Le haut roy ne cessait de reculer devant le démon qui s’efforçait de l’accabler d’attaques aussi puissantes … qu’inopérantes . Arthur était loin d’être désemparé face à la virulence de son maudit neveu : son but était de l’épuiser avant de prendre l’avantage … D'ailleurs le félon ne cessait de fulminer, tandis que son oncle faisait preuve d'une parfaite maîtrise de soit ... Mais c’était compter sans la perfidie de son ennemi : Mordred, aussi, attendait le moment propice pour en finir ! Les deux combattants tentèrent soudain de se porter mutuellement le coup décisif : ils ne réussirent qu’a bloquer leurs attaques respectives … Et alors que les deux rivaux se neutralisaient en essayant de casser la garde de l’autre, dans un face à face dramatique, le tyran afficha un horrible rictus . Celui-ci alla chercher une dague dissimulée dans son dos et … frappa Arthur de toute ses forces, qui s’effondra, mortellement blessé . Etc … *
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