La cité sombre

Dans les mures de Minas Morgule, un homme en noir harpentait l' une des nombreuses salle de la cité, parfois jetant des regard désinteressés au dehors.
L' immense tueur surnommé Darkor déambulait dans le hall souterrain enfumé. Il scrutait la foule de son regard cruel, les lèvres ourlées d' un sourire carnassier. Depuis les derniers des coupes-jarrets jusqu' au plus raffiné des meurtriers, les assassins du port d' Umbar avaient répondu "présent". Plus de dix milles hommes et femmes se tenaient à ses ordres.

Darkor : "J' ai un présent pour vous, voleurs de Minas Morgul !"

Commença Darkor.

Darkor : "De la part du seigneur du Mordor, Tyranthraxus lui même. Je vous conseille de ne pas refuser."

A son signal, un trio de voleurs se précipita pour dévoiler des armures d' ébène et de longues épées noirs comme l' onyx.

Darkor : "Avec ces armes, nous récupererons le terres du sud nous ayans jadis appartenus...et qui nous ont été volées, volées par qui??...Par le Gondor, nous enverons des émissaires parlementer de façon...hum "diplomatique", mais je doute que les hommes du Gondor accepte, trop avide et trop cupides si la reponse est "non"...nous nous emparerons de leurs richesses et leur savoir, Sauron lui même de par sa volonté avait imposé sa puissance sur les terres qui sont à présent dominé par un traitre, un lache, le sang des hommes de nùmenor, "notre" sang coule dans ses veinnes, A présent revêtez ces armures et prenez ces épées, voleurs de Minas Morgule. Je vous promet que vous allez vous battre comme jamais...MAINTENANT !"

Tonna-il-, se dressant de toute sa taille, son regard de braise étincelant.
Les hommes se pressèrent pour obéir, empoignant des plastrons lisses comme des carapaces de scarabées, et des épées luisante comme des vipères.

Voleur : "Nombreux d' entre nous sommes des coupes-jarret, Darkor, pas des soldats."

Fit une vois dans le brouhaha. L' homme noueux borgne, le crâne rasé, s' appelait Kankorlin et était l' un des nombreux lider de bande, fier et orgeuilleux, l' homme avait la facheuse manie de se révolter dans des situation plus ou moins importantes.

Voleur : "Je refuse de porter cette ferraille !!"

Darkor : C' est ainsi, Kankorlin ?"

Répondit Darkor d' une voix mielleuse

Darkor : "Si cela ne te plaît pas, rien ne t' oblige à revêtir l' armure."

Kankorlin sourit de cette victoire facile. Mais son triomphe fut de courte durée.
D' un mouvement nonchalant de son gantelet noir, Darkor lui envoya un marteau de combat en pleinne poitrine. La violence du choc le plaqua contre le mure, le corps resta en suspention un instant avant de glisser au sol dans un horrible bruit de sussion, la cage toraxique crevée.
Horrifiés, les autres contemplèrent les restes de leur collègue.

Darkor : "Qui d' autre refuse de porter l' armure ?"

Dix milles voleurs moins un, se précipitèrent pour ajuster leur plastron d' onyx. D' un geste théatrale, Darkor prit le siens entre les mains ; de violent crépitement le parcoururent ; l' armure épousa son corps comme une second peau.
Les bandits remarquèrent la circonstance graisseuse ; une foix armés de pied en cap, ils subirent une subtile altération qui développa leur musculature. Les visages s' épaissirent, des lueurs menaçantes brillèrent au fond des yeux. Darkor fut satisfait ; Tyranthraxus n' avait pas menti, ces armures maléfiques de sa création allairent leurs permettre de gagner bien des batailles.

Darkor : "L'heure de notre suprémacie à sonnée, depuis bien trop longtemps nous avons du vivre comme des esclaves, à présent cette époque est révolue."

Comme un seul, les bandits levèrent leurs épées noires, le regard luisant d' une férocité bestiale.