Arrivée à Minas Tirith

Une jeune femme sortait en courant du port d'Umbar...Elle avait une carte a la main, elle était habillé légérement et juste une cape noire l'emmistouffler, elle avait mit la capuche pour pas qu'on la remarque...ou qu'on la reconnaisse...Quand elle fut un peu plus loin du port, elle ralentit l'allure, c'était la fin de l'aprés midi...Il fallait qu'elle fasse vite avant que son pére envoit des Corsaires à sa recherche ; il en était bien capable, elle le savait...Elle s'arrêta pour pouvoir lire la carte...Elle savait trés bien les lire...Surtout celle des bateaux et là c'était presque pareil, il fallait continuer vers le sud...Elle regarda le soleil et s'orienta...Elle rengea la carte dans son petit sac noir en bandouliére et caressa en même temps sa dague..C'était une dague magnifique...Bizaremment elle ne se souvenait pas d'où ele venait...Elle qui se souvenait d'habitude de tout... Cerallia se remit en marche en accélérant le pas..Elle savait qu'elle allait bientôt arriver dans un village, elle espérait trouver un cheval...Elle le volerait...Elle avait l'habitude.

La jeune corsaire marcha pendant une heure, et observa le soleil qui se coucher lentement, il allait enfin faire nuit..C'est ce qu'elle préférait : la nuit. Elle vit bientôt un petit village au loin, celui qui était indiqué sur la carte...Elle était donc plus trop loin de la ville qu'elle cherchait...Et elle était arrivée dans le Gondor. Elle eut un sourire vengeur et essaya de le cacher dés qu'elle était arrivée ...Elle remarqua une petite écurie vers la gauche...il y avait indiqué le prix, c'était beaucoup trop chére : Cerallia prendrait un cheval à sa maniére..Elle en remarqua un de robe noire, un magnifique étalon et elle savait qu'il irait parfaitement...Il n'y avait personne prés des chevaux et comme elle était trés rapide et était une voleuse perfectionnée, tout comme sa mére...Elle s'approcha en silence, détacha l'étalon qui étai tbizaremment calme....Cerallia avait réussit à le calmer avec un simple regard...Elle monta sur sa croupe et partit au galot...Heureusement il faisait nuit et tout le monde était rentré chez soi...La jeune femme sortit du village souriante.

Il faisait donc nuit et Cerallia chevauchait sur un magnifique étalon qu'elle avait surnommé "Ténébre", ce n'était pas tellement original mais ca plaisait a la jeune femme et apparamment à l'animal qui hénissait gentillement dés qu'elle l'appellait comme cela...La jeune femme gardait une main sur la bride et tenait de l'autre fermement son épée, et touchait de temps en temps ses arcs...Elle n'avait pas peur mais craignait de rencontrer des créatures, car cela la ralentirait...La jeune fille ne connaissait pas cette région mais elle avait bien observer la carte et avait l'habitude d'être dans le noir, elle arrivait à voir les arbres, et il n'y avait pas d'ombre..Elle avait faim et son étalon aussi alors elle s'arrêta et grignota un bout de pain qu'elle avait acheté...Elle en donna un bout à l'animal puis ils recommencérent leur route...Elle le fit aller au galot...Puis elle distincta de loin des ruines bien étranges...Cerallia n'avait pas vu cela sur la carte. C'était elle trompait? Mais elle se rapella avoir entendu un Corsaire parler de ses ruines juste avant d'arriver devant Minas Tirith....C'était donc bon signes...Mais il parraissait aussi que là bas il n'y avait pas de trés bonne fréquentation; qu'une bande d'orc y rodait et d'autres créatures dans ce genre....

La Corsaire n'avait pas du tout peur...Ils arrivérent enfin dans les ruines...Pour un epersonne normal cela serait efrayant mais la jeune femme avait l'habitude du noir, de la nuit, du sombre, des silhouettes...Sur la mer....La nuit était aussi effrayante même plus...On entendait des cris...On voyait des bateaux étranges arriver...On entendait des bruits de bateaux qui sombrer au plus profond des abimes...Et là ce n'était pas vraiment différent, elle entendit un cris raucque et sauvage et elle dégaina son épée que son pére lui avait offert...Elle avait appartenue à la mére de Cerralia qui en était bien heureuse...Elle allait enfin se battre comme sa mére....Fiére...Elle vit des silhouettes vers la gauche et la jeune femme avait fait ralentir "Ténébre" mais ils continuaient tout droit...Soudain, une étrange créature, que Cerallia n'avait jamais vu brandit une arme sur la jeune femme et sa monture, celle ci cabra et partit au galot, l'étalon sautait facilement les obstacles, esquivait les coup de la créature qui leur courait toujours aprés....Puis l'animal se mit à galopait de plus en plus vite. Sa cavaliére en était bien fiére et heureuse....Ils furent enfin sortit de ses ruines:

*Et bon on a eut chaud quand même...*

Pensa elle puis elle regarda devant elle, étonnée....Il y avait une imense ville, éclairée, en hauteur devant elle..."Ténébres"avait ralentit et ils allaient arriver bientôt devant les portes...Cerallia n'avait jamais été impressionée par quelque chose....Mais là c'était différent, la ville était vraiment immense, elle n'avais jamais vut sa....Son étalon était maintenant au trot et sa maitresse remarqua des gardes...Elle savait qu'il y en avait...Dans toutes les villes, à l'entrée il y en avait...Mais elle voulait arriver de nuit pour qu'il n'y est pas de monde et qu'on ne l'a voit pas....Et puis elle pourrait utiliser son charme car elle savait trés bien que de nuit il ne l'a laisserait pas passer car elle n'avait pas du tout l'allure d'un alliée...Elle arriva enfin devant les gardes qui la regardérent et tendirent leur lance subitement...Cerallia eut un petit rire, elle déscendit de son animal et toujours en le tenait par là bride elle approcha des gardes...TOut de suite l'un deux lui dit d'une voix séche:

"Que faites vous ici?
A cette heure ci?"

"Je voudrais entrer."

Répliqua Cerallia qui aimait pas qu'on lui parle comme ca...Mais il fallait qu'elle se controle sinon ils se douteraient trop de quelque chose...Et il ne fallait surtout pas que ca arrive.....Le garde se méfia encore plus...Il la fit reculer:

"On ouvre pas les portes à cette heure ci!!"

"Mais ce n'est pas un crime je vous jure....
Mais vous n'êtes pas fatigué?"

Demanda la jeune femme d'une voix si douce qu'un des quatres gardes baissa son armes...Cerralia leur fit un sourire charmeur et un des gardes répondit:

"Oh si....Je ne vous raconte pas.."

La jeune femme fit semblant de greloter....Et elle regarda tour à tour les gardes en disant d'une voix tellement douce qu'ils tombérent tous sur le charmes de la jeune Corsaire:

"Qu'est ce qu'il fait froid..."

Les gardes se sentirent à la cause de cela...ils croyaient vraiment au cinéma de la jeune femme...Elle aurait peut être dut les tuer mais bon elle ne voulait pas se faire des ennemis pour le moment...Puis ils dégagérent la portes et dirent:

"Bon c'est bon pour cette fois...
Juste parce qu'il fait vraiment froid dehors..."

Cerrallia eut envie de rire moqueusement mais elle se retint et sourit puis ajouta d'une voix extrémement douce et sincére mais elle ne pensait pas un mot de ce qu'elle disait:

"Merci!
Vous êtes des anges..."

Ils rougirent tous et la porte s'ouvrit...Laissant Cerallia entrer...Elle fit aussi entrer son étalon et ils passérent devant d'autres gardes...La portes se referma brutalement et Cerallia se mit à rire moqueusement mais évidemment trop fort et des gardes se retournérent....Elle ne savait pas trop pourquoi mais elle monta sur sa jument et se mit à courir ; les gardes comprirent tout...La ville était éclairée et elle vit un rue non éclairée...Elle s'y embarqua, elle vit une sorte d'auberge où était attachée des chevaux...Elle descnendit de son étalon...le cacha derriére d'autre...Lui dit calmement:

"Reste là....Fais toi extrémement discret...Mais ne te fais pas approcher....Je vais revenir te chercher.."

Et elle se mi tà courire dans la rue sombre...Cerallia n'entendit plus les gardes derriére elle mais elle n'était pas tellement sure de les avoirs semée...Elle continua à courir, en essayant de ne pas rentrer dans quelqu'un...La Corsaire bifurqua à un angle et elle regarda juste derriére..Elle ne vit pas un homme arriver en fasse et qui ne regardait pas non plus...ils se foncérent dedans et la jeune femme se retrouva par terre..Ce n'était pas le moment...La jeune Tesk était déjà assez enervée...Elle sortit sa dague d'où elle l'avait caché et la pointa sur l'homme:

"Tu vas regretter de me faire perdre mon temps...."

Elle aurait trés bien pu partir en couran tpour semer les gardes mais elle detestait les gens qui lui foncait dedans...Surtout les hommes...Qu'elle ne connaissait pas..Et comme elle n'entendait pas les hommes du gondor derriére elle avait le temps de régler rapidement un compte...

Suladan fut lui aussi surpris il venait à peine de sortir de l’auberge et voila qu’on lui rentrait dedans et en plus qu’on le menaçait

Lorsqu’il sortie à son tour son arme ,elle lui fonça dessus. Suladan eu le temps d’esquiver et il passa derrière elle la bloqua contre lui et lui mis son cimetière près de sa gorge, l’etrangére luttait et malgré que Suladan lui tienne la main ou elle avait son arme ,le poignard de l’assaillante s’approchait dangereusement de son épaule.Il ne peut donc remarquer ses beaux cheveux et tout le patin couffin lol

Il pencha a peine la tête et puis lui murmurer à l’oreille.

« Tu ne sais pas à qui tu as affaire insolente »

Les hommes de Suladan arrivèrent à leur tour et quand ils virent la scène tous sortirent leurs armes et se tenait près.

C’est a ce moment que la pleine lune décida de reaparaitre de derrière les nuages et eclaira tous ce monde.

Suladan était pétrifié quand il aperçu le poignard que la jeune fille essayait de lui plantait ,ils étaient d’une finesse rare et sa lame faisait des éclats le serpent en or dessus éclairait d’autant plus.

Il relâcha sa prise et écarta la jeune fille.

« Ou a tu eu cette arme ?Reponds moi et nous te laisseront la vie sauve

hj j'ai pas le temsp de racontait la petite histoire je susi a la boure ele a qu a dire qu'ele est a ellle le supsone de lui voler je c pas dis un truc pour le forcer a raconter son histoire a llez cho bon week tout le monde moi je vais au festivan de bd a angouleme

La jeune femme esquivait elle aussi les coup de son adversaire avec sa dague mais elle n'a pas réagit assez vite quand le jeune homme l'attrapa et la bloqua avec son arbre mais elle était trés agile et arrivait à bouger ses bras et donnait des coups de dagues pour se libérer mais quand elle vut que pleins d'homme arrivérent elle se calma...Ce devait être les hommes de celui qu'elle avait nargué. Mais Cerallia n'avait pas peur...Elle leur jetta un regard froid et provoquant et donna un coup de pied dans le genoux de Suladan qui ne lachait toujours pas prise. Quand il lui murmura une phrase elle lui cracha sur les pieds et dit d'une voix froide:

"Et vous croyez que j'ai peur de vous, sale rat!"

Elle taillada un petit peu la jambe d'un homme qui se trouvait devant elle avec sa dague...La jeune femme lui soura de sadisme. Et elle sentit soudain les mains de son adversaire se détendre et il la lacha...La jeune Corsaire se tourna pour être face à face avec l'inconnu..Il regarda la dague avec une bizarre attention...En effet cette arme était exeptionnele, magnifique et extrémement rare mais Cerallia ne savait plus où elle l'avait eut alors pour elle, cette dague lui avait toujours appartenue...Puis elle écouta le jeune homme et ne savait pas si elle devait répondre....en fait elle ne savait pas ce qu'elle devait répondre mais elle pensait qu'il voulait la lui voler alors elle l'enpoigna de plus en plus fort, serrant l'arme contre elle:

"Ca ne vous regarde pas!
Et puis si vous comptez me la voler vous êtes tomber sur la mauvaise personne.."

Elle n'avait aucune envie de se justifier....non seulement elle ne savait pas d'où venait cette arme mais elle y tenait beaucoup....La jeune femme remarqua un espace entre deux hommes : elle allait s'enfuir...Elle était la maitresse en cela....La Corsaire s'élanca, dague en avant et transperca le premier homme qui voulut lui céder le passage....Elle eut un sourire vainqueur et narguant et elle cria avant de partir, à Suladan:

"Au revoir mon chér!
Sache que tu payeras pour m'avoir retarder!"

Elle le regarda une derniére fois et se remit à courire dans la rue sombre, à peine éclairée...Evidemment Suladan et ses hommes lui couraient aprés...Soudain, devant elle, Cerallia vit les gardes qui la regardait...Elle remarqua une rue encore plus sombre à droite qui descendait...La jeune Corsaire si engouffra, courant de plus en plus vite...Elle regarda les portes qui étaient autour d'elle...C'était surement des portes qui appartenaient à des maisons, il ne fallai tpas qu'elle entre sinon elle se ferait attraper...La jeune femme avait toujours sa capuche et elle caressait toujours sa dague quand soudain quelqu'un lui empoigna le bras..Elle n'eut pas le temps de réagir qu'elle se faisait entrainer en courant par un inconnu. Elle essayait de se débatre de lui donner des coups de dague mais il al tenait trops fort...Ce n'était pas un garde ni un homme de Suladan...Qui cela pouvai tbien être....Il ouvrit une porte et poussa Cerallia à l'intérieur, il verouilla la porte et lui dit en murmurant, aprés l'avoir lachée:

"Ne tentez pas de vous enfuir...
Je ne vous veux aucun mal, je tente juste de vous aider...Ils ne vous trouveront jamais ici!"

"Et comment je peux être sur que vous dites la vérité!
Comment vous croire et vous faire confiance, vous n'êtes qu'un inconnu pour moi!"

Rétorqua séchement Cerallia...Puis l'inconnu lui fit signe de s'assoir...Ce qu'elle fit. Et il enchaina:

"Vous ressemblez tellement à votre mère!"

"QUOI?
Vous connaissiez ma mère?"

S'exclama Cerralia qui se leva..et l'inconnu lui expliqua:

"Calme toi...
Oui en effet je la connaissais...Mais je devais être un tout peu plus grand que toi quand tu l'as perdue...Peut être un peu plus grand....Mes parents étaient des alliés a tes parents mais je n'ai rencontré que ta mère!"

"Mais comment vous croire?
Je ne vous connais pas moi!"

Rétorqua froidement la Corsaire qui ne savait plus où elle était...Elle observa le jeune homme prendre quelque chose dans un tiroir...C'était une lettre, il l'a tendit à Cerallia en disant:

"C'est une lettre de ta mère!"

Elle la saisit mais à ce moment là cris d'homme se firent entendre dans la rue..et quelqu'un essaya de forcer la porte. La jeune femme rengea la lettre dans la poche et murmura au jeune homme:

"Moi qui croyez que je ne craignais rien ici!"

"Ne t'inquiéte pas...Ce n'est pas un ennemis..."

Il alla ouvrir et la jeune femme vit....

hj: Oki, bon week...
Mais fais comme si tu étais un ami de e jeune homme et c'est toi qui rentre avec un autre homme qui peut être interpréter par Argaorn (d'aprés ton mp )lol^^

Suladan arriva en trombe suivit de ses hommes,il tenait celui qui avait était blessé il le posa le blessé sur un siége.

« Encore toi !!! » ses derniers paroles ressemblaient à un grognement de chient on pouvait lire dans ses yeux la colére.

« La seule raison pour laquelle tu es encore en vie c’est pas ce que je l’ai ordonné !!! »

Le contacte posa une main sur Suladan qui le poussa immédiatement.

« Ne me touche pas !!!!Ce n’est pas parce que tu es mon espion ici que tu es mon ami nous n’avons rien en commun si ce n’est l’argent que je te verse pour tes informations. »

Il se retourne et s’approche vers Cerralia

« On voit que tu es une voleuse !!Tu n’as aucun honneur,tu ne te justifie même pas et tu fuis et tu attaque en traite. »

Il pointa l’arme du bout du doigt .

« je me souviens de cette arme c’etait la mienne . Et a présent je me rappelle de toi. C’était il y a 14 ans à Umbar mon père pour mon dixième anniversaire m’a amené voir la mer pour la première fois de ma vie et il m’a offert ma première arme.
Et a cette époque j’etais bien trop idiot pour savoir que tout ses conseils sont profitables, je lui ai donc désobéis et je me suis éloigné de lui,je jouais avec ma dague quand dans seul coup tu as surgis de nulle part et tu m’as volé ma dague,tu es partie en courant ,je t’ai couru après,tu t’es faufilée a travers le marché puis vers les quais la tu as sauté a des cordes et tu es partie dans un bateau te mettre à l’abris. Je t‘ai suivis sans réfléchir mais moi je n’étais pas aussi habile au dessus de l’eau je me suis pris dans des cordages et je suis tombé à l’eau je ne savais pas nager et je me suis noyé,je me rappelle t’avoir vu plonger et venir me récupérer sous l’eau la tu m’as allongé sur le quai .

Suladan marque une pause sa voix se calme et redevient a nouveau agréable. Il enlève son châle et laisse découvrir son beau visage.

« Tu t’es penché au dessus de moi et la dernière chose que j’ai vue avant de m’évanouir c’est tes yeux tu as toujours les même. Tu aurais pu me laisser me noyer mais pour une raison que je ne sais pas tu m’as sauvé voila pourquoi je ne t’es pas tué ».

Il la regarde intensément puis le blessé pusse un gémissement de douleur il se retourne et va voir sa blessure. Il dechire la manche de sa tunique et lui fais un garrot autour de la jambe.

[Hj : je suis vraiment dsl Ceralia, cette panne d'internet m'a empêché de poster ce week end. Bon je vais me contenter de faire les gardes du Gondor et je pourrai peut être reposter de chez moi demain lol]

Le guet n'avait rien comprit à ce qui se passait. Le sergent et ses hommes avait trouvé le cadavre d'un étranger en pleine rue, le lieutenant un homme a cheval tout de fer vêtu, regardait la scène avec dégout.

Lieutenant : "Alors sergent ? Est-il bien mort ?"

Sergent : "Oui lieutenant, raide, un coup de lame en plein coeur... "

Lieutenant : "A voir son teint et sa coiffure, c'est un suderon..."

Sergent : "Absolument lieutenant et richement vêtu : son armure est d'un finesse incroyable et ses armes sont magnifiques... "

Lieutenant : "Mauvais ça... très mauvais... S'il s'agit d'un des hommes de ce riche marchand qui est arrivé en ville l'autre jour, il va falloir prévenir le gouverneur Valtair. Cela peut créer un incident diplomatique et le roi n'aime pas qu'on malmène les Suderons de par nos rues."

Soudain un des hommes se mit à crier :

Soldat : "Regardez sergent ! Il y a un filet de sang qui part dans cette rue là !"

Le sergent s'approcha et regarda la directuion indiqué par le soldat.

Sergent : "C'est vrai qu'il y a du sang. Il semblerait que notre mort ait blessé son agresseur avant de passer..."

Le lieutenant s'approcha et dit :

Lieutenant : "Il faut suivre cette piste sergent. Elle va certainement nous mener au tueur ou au pire au lieu du meurtre si ce sang est celui du mort. En route !"

Il éperonna son cheval et le guet se mit en route, martelant le sol de leur lourdes chausses, suivant la piste du sang, menant à la maison ou se trouvaient Ceralia, Sulladan et sa suite.

La jeune femme n'eut pas le temps de réagir que son "sauveur" la tint pour pas qu'elle bouge et Suladan et ses hommes arrivérent...Cerallia regarda l'homme qui l'avait logé...C'était en fait un espion de l'homme qu'elle avait combattu.....Il lui avait ordonné de la faire venir ici pour s'occuper d'elle...Cet espion perira..sur le champs se dit Cerallia que dés qu'il la lacha sortit son poignard et l'enfonca dans le coeur du jeune homme qui lui avait non seulement mentit, car la lettre n'en était pas une et qui l'avait trahis....Il mourut sur le coup et la jeune Corsaire se tourna ensuite vers Suladan pour le regarder...Elle lui dit d'une voix froide quand il l'accusa de voleuse:

"Je ne suis pas qu'une voleuse mon chér!!! Oh si j'ai un honneur...Si je suis à Minas Tirith ce n'est pas pour te tenir compagnie et si je fuis...ce n'était pas pour la lacheté mais car je suis recherché par les gardes de cette ville!
Mais vas y appelle les qu'est ce que tu attend..."

Mais elle comprit trés bien qu'il n'allait pas les appeller tout de suite....Il voulait la dague que la jeune femme s'était empressée de reranger...Elle écouta son récit et lui cracha au pied...Elle ne le crut pas sur le coup...Pourquoi croire de tel sornette. Elle ne connaissait pas cet homme et il lui annoncait que cette dague était la sienne. Pour qui se croyait il? Elle lui jeta un bon regard moqueur et lui dit avant qu'il ne reprenne son histoire complétement stupide:

"Oui c'est ca! Tu crois que je vais te croire! N'uses pas ta salive ca ne sert à rien, ce n'est pas comme ça que tu aurais ma dague! Et puis c'est toi qui est le sale voleur je te signale!"

Puis, elle prit quand même la peine d'écouter la suite de l'histoire de Suladan, et bizarrement elle se revit dans le port d'Umbar, à l'âge de 14 ans, en train de courir et de foncer dans un jeune homme de son âge, lui prendre son arme qui était la dague que Suladan réclamait..Elle se revit courir vers le port, suivit par e jeune homme, elle montait dans son bateau et son poursuivant tomba à l'eau, il commenca à se noyer et elle avait plonger le sauver et l'avait rammener sur le bord, elle l'avait regardé et était partit...Elle essaya de chasser ce souvenir...qu'elle ne croyait pas mais elle n'arrivait pas.....Suladan disait donc vrai....Mais elle rétorqua quand même:

"Je me souviens peut être de cela!
Mais commen têtre sur que tu ne me ments pas, que tu ne te fais pas passer pour quelqu'un d'autre?
Tu crois que je vais te croire comme ça? Tu n'as aucune preuve! Sans preuve, cette arme est et restera en ma posséssion."

Elle lui sourit moqueusement...Peut être avait il une preuve? Mais pour le moment, Cerrallia n'en avait pas...Elle le regarda soigner le blessé et les regarda tout deux avec mépris...Elle se dirigea vers le jeune homme blessé qui continuait de gémir...Elle lui dit méchament, sans peur:

"Si tu continue de gémir, j'achéverais ta douleur!
Compris!"

Suladan se leve immediatement et sort son épée qu'il pointe sur la corsaire.

"Ne menace ou ne tue plsu jamais un de mes hommes c'est clair;Pour le moment cette dague n'est pas mon soucis et toi non plus d'ailleur.Ce que je me rapele avoir vu dans tes yeux est mort,je ne vois qu'un desert.

je n'ai aps a me justifier contrairement a toi je n'ai qu une parole.Comment aurais je pu savoir tout ca si ce n'etait pas moi."

Il fut coupé lorsqu 'il entendit des bruits de l'exterieurs.

"Vous nous avez fait reperer nosu devons fuir!!!"

Il range son arme et montre la fenetre a ses hommes et leur parle en Haradrim avec un autre il attrape le bléssé pour pouvoir s'echapper.

Elle le regarda méchamment et regarda la point de l'épée de Suladan avec mépris...Elle ne l'écouta pas vraiment et dit d'une voix glacée:

"Tu crois me faire peur pauvre Haradrim! Mais tu te trompe.
Sur toute la ligne..."

Elle lui sourit sadiquement et rajouta:

"Et je tue et menace qui je veux! Je n'ai aucuns ordres à recevoir de toi mon chér!
Et tu aurais trés bien pu être là au moment où ca c'est passer et vouloir cette dague!"

Puis elle entendit aussi les bruit de l'extérieur...C'était surement des gardes..Elle observa Suladan et ses hommes fuirent...Elle lui dit en riant moqueusement:

"Tu es aussi lache que moi!
Oh pire! Vous n'oser même pas combattre.."

Elle les regarda fuire et se demanda ce qu'elle devait faire....Devait elle attendre les gardes et les combattres ou fuir comme les hommes et Suladan...Puis Cerallia resta là, sortit son épée, et sa dague et attendit devant la porte que quelque chose se passe...Elle aimait le danger...et se battre...

Suladan jetet un regard de pitié vers Cerallia.

"Je ne fuis pas seulement mon heure n'est pas encore venue pour mon regne.Mais en temps voulut je prendrais les armes par moments il est plus intelligent de contourner que de foncer dans un mur."

Il ne reste plus que lui les autres hommes l'attendent sur le toit,il remet son chale.

"Je suis fier d'etre un Haradrim même si je ne suis pas de pure souche comme mon père mais à présent je préfère encore plus mes origines paternelles que celle de ma mere.Les numennoreens noirs pensent avoir toujours leurs forces d'autre fois mais ils ne sont plus rien."

Nous avons un ennemi commun mais tu préfère être mon ennemi. C'est ton choix. évite de te retrouver sur ma route à l'avenir et de compromettre mes plans."

Et sans ajouter un mot il reste un instant immobile la contemplant puis avec son agilité il saute habillement par la fenêtre et sort de la demeure.

La jeune fille regarda Suladan et lui rendit son regard de pitié et elle sourit moqueusement...Puis elle l'observa mettre son chale...Elle l'écouta a moitié...Elle répondit:

"Ton reigne!! Pff
Et puis je n'ai jamais dit que je voulais être ton ennemi!!
Mais la vie est faite ainsi....Je ne fréquente que les Corsaires ou les voleurs pro...tu n'en ai même pas un!"

Elle le regarda avec mépris...Puis cerralia le regarda sauter par la fenêtre et partir de la demeure puis un sursaut la sortie de ses sortes de réverie....Les gardes étaient arrivé...Ils tapaient maintenant à la porte en hurlant d'ouvrir...La jeune femme ne savait pas si elle devait ouvrir la porte et les laisait entrer et se défendre à l'intérieur ou si....Elle eut soudainement une idée...Au moment où les gardes du gondor allait défoncer la porte, elle sauta par la fenêtre qui se trouvait prés de la porte...Et constata avec un sourire que tout les gardes étaient de dos, tournés vers la porte et d'autres étaient partis de l'autre côté.

La Corsaire rengea son épée, prit son carquois, prit une fléche, la tendit sur un des gardes en retrait...Elle allait enfin pouvoir se venger sérieusement...Elle placa la fléche...tendit l'arc et tira avec une précision experte...La fléche atteint l'homme dans le dos et le tu juste aprés qu'il est poussé un cri de douleur...A une vitesse impressionante, Ceralia rangea son arc...Elle sortit son épée de son fourreau...et regarda les gardes se retournaient vers elle...Elle en reconnut quelques un et dit d'un ton insolent et narguant:

"Salut les amis!
Prés pour une petite défaite!"

Elle regarda les plus inconscient tomber dans le piége....Ils couraient maintenant vers elle....Et la jeune femme eut un sourire...mais elle ne fit rien...elle voulait avoir leur supérieur....et puis elle voulait attendre de savoir exactement qui avait tué sa mére....mais bizarrement ellle se demanda:

*Et si elle était pas morte?
Et si elle était toujours ici! Prisonniére du Gondor?!*

Suladan commence à grimper sur le toit pour rejoindre ses hommes,il s'approche pres du rebord et voit que aa jeune femme à declenchée une bataille.
#Qu'elle sote declencher un conflit en plein coeur de minas tirith mais grace a sa betise nous sommes couvert.#

Il se retourne vers ses hommes qui l'attendent.

"Suladan depechons nous !!!Qu'est ce que tu attends laisse cette fille,tu en as deja pleins d'autres!!!"

Il fait demi tour et les rejoind un par un il saute de toit en toit disparaisant comme des ombres.

La jeune femme avait un plan elle sourit....Elle n'avait pas l'intention de tous les tuer ni de mourir! Elle était de toute façon bien trop agile...Cerralia regarda les gardes qui l'entouraient, elle les observa attentivement, un par un puis elle se tourna vers un gros bonhomme qui devait être le sergent, il la traita de garce et cela ne plus pas a la corsaire...Elle s'approcha dangereusement, elle avait ressortit son épée et l'éléva vers le sergent et d'un coup fin et précis lui coupa la moustache (lol) et le regarda en se moquant car il avait eut peur:

"Et ben je vois qu'on est des petits peureux ici!
Tu m'appelles encore une fois sale garce, tu risque de le regretter!"

Puis elle observa un jeune homme qui était sur un cheval..Il avanca vers elle et benda son arc pour atteindre Cerrallia à la gorge..Elle eut un rire de mépris et répondit aux avertissements du lieutenant:

"Vous croyez vraiment que je vais me rendre! Et vous croyez vraiment que vous allez me tuer!
Mais vous êtes si stupide!"

Elle vit un petit trou entre deux soldats...Elle observa le sergent qui venait juste de se tourner pour ordonner quelque chose à un soldat....Le lieutenant avait toujours son arc bandait pour atteindre la jeune femme si elle bouger...Mais celle ci était bien trop rapide....Elle n'avait pas vraiment envie de le tuer...c'était surtout car elle savait qu'elle aurait une autre occasion de le faire...Puis quand il y eut même pas une seconde d'inatention de la part du lieutenant, la Corsaire bondit en avant...Elle vit qu'un des gardes se mit en travers de son chemin, elle lui blessa la jambe...Elle avait afait exprés de juste le blessé car il serai tun poid et ferait gagner du temps à la jeune fille...
La voie était maintenant libre...Cerralia eut un sourire moqueur, elle se retourna et dit en courant:

"Au revoir! Contente de vous avoir rencontré sale rat!"

Puis elle voit des caisses et un toit pas trés haut...Elle monte avec une agilité et une finesse incroyable sur les tonneaux...Elle s'accoche au toit et monte dessus en faisant attention de ne pas glisser...Au loin, elle voit Suladan et ses hommes s'enfuir...Elle leur avait laissé la voie libre à eux aussi...Puis Cerallia regarda derriére...Les gardes la suivaient....C'était normal, un peu d'action lui avait fait du bien...Elle continua à courir en sautant de toits en toits.

[Hj : merci de pas avoir fait de massacre, ça c la classe , mes beaux soldats lol ]

Les soldats n'avaient pratiquement vu qu'un éclair passer, le temps qu'il comprennent Cerellia s'envolait déjà de toit en toit.

Seul le lieutenant avait suivi la jeune femme des yeux, son cheval s'était cabré en hennissant et il avait du lâcher son arc pour le maîtriser.

Il la regarda s'enfuir, non sans un petit sourire d'admiration indécente vue la situation.

*Lieutenant : "Bigre, quelle tigresse est ce donc là ? Une belle fille en plus..."*

Il la vit s'évanouir dans la nuit, impuissant mais pas totalement insatisfait : la chasse ne faisait que commencer et le gibier était fort attractif.

Le sergent s'avança vers l'officier, l'air hébété et un peu ridicule avec sa moustache à demi coupée. [Trop fort le coup de la moustache lol]

Le lieutenant reprit contenance, et le toisa d'un oeil sévère.

Lieutenant : "Alors sergent, qu'attendez vous donc pour poursuivre cette drôlesse, que je m'en charge moi même ?"

Sergent : "Heu... je ..."

A ce moment les 6 hommes envoyés de l'autre côté de la rue firent leur apparition, ils avaient entendu le tumulte et étaient accourus en renfort, mais trop tard...

Le lieutenant attendit qu'ils fussent tous arrivés et donna ses ordres :

Lieutenant : "Il semble que nous ayons affaire à une femme d'une extrême dangerosité, il va donc nous falloir redoubler de prudence."

Il se tourna vers un soldat.

Lieutenant : "Vous, occupez vous des blessés avec deux de vos compagnons."

Le soldat fit oui de la tête, il se tourna alors à nouveau vers le sergent.

Lieutenant: "Sergent. Allez chercher du renfort au corps de garde, ensuite je veux que vous boucliez tout le quartier pour empêcher à quiconque de s'enfuir. Bloquez les issues et filtrez tous les passages. Les toits ne s'étendent pas à l'infini, elle devra bien redescendre si elle veut quitter le quartier.
Au matin nous commencerons à quadriller le secteur, et nous le fouillerons maison par maison s'il le faut mais je veux qu'on la retrouve ! "

Sergent : "A vos ordres"

Lieutenant : "Et vivante si c'est possible... De mon côté je vais fouiller cette maison où elle se cachait. Peut être y a-t-il quelque chose d'intéressant qui nous mettra sur la piste de cette mystérieuse tueuse..."

Le sergent acquisca et partit en direction de la caserne la plus proche en compagnie de quelques gardes.

Le lieutenant mit pied à terre et s'approcha de la maison d'où était sortie Cerallia.
Il fit enfoncer la serrure de la porte avec une lance et, précédé de deux hommes, [pas fou le gars lol] il entra dans la maison.

[Hj : petite question, y a-t-il encore quelqu'un comme le contact de Sulladan dans la boutique ou bien est elle déserte ? ]

Hj:Non suladan vient à peine d'arriver donc il en avait qu'un pour le moment et cette histoire de conctat c'est un truc de cerallia j'ai rien demandé moi.

Ceralia se dirigait vers eux .

Un homme se retourna et dit à Suladan.

"Cette fille nous apporte des ennuis il faut la tuer!"

Suladan se retourne et ne lui repond pas,il n veut pas il ne sait pas pourquoi en temps normale il l'aurait dejatué pour le simple fait de lui avoir mal parlé.Il s'arete dans leur course et attend que Cerallier arrive à leur niveau.

"Vous jouez à quoi!!!!Vous nous attaquez ,vous nous suivez,qu'est ce que vous voulez!!!"

Il fut coupé par l'arrivé d'un de ses hommes.
"Il n'y à pas d'issue la bas ils ont deja bloqué et les hommes sur les remparts sont en alerte."

Suladan reflechit silencieux finissant de rependre son souffle.
"Nous n'avons pas le choix il faut descendre d'un etage il nous faudra sauter à l'endroit le moins haut.

Les hommes se retournent les yeux exorbités.

"Mais c'est de la folie ca revient à sauter du haut d'un mumak!!Et en plus nous avons un bléssé."

Suladan se retourne et énervé et l'attrape par le col,

"Je le sais!!Mais tu as une meilleure solution tu veux te laisser prendre parses chiens!!"

Les hommes sont silencieux.
Suladan serre des dents pour montrer son mecontentement.

(hj; Oh ca va on t'enguel pas Suladan, Aragorn a simplement posé une question!
A part le mec mort, il n'y a personne....l'homme a été tué par Cerallia! lol)

La jeune femme regarda une derniére fois les gardes au loin et eut un petit sourire...Puis elle se remit à courire, elle arriva maintenant juste derriére Suladan et ses hommes....Elle n'avait pas eut l'intention de les suivre ni d'être avec eux mais il n'y avait pas d'autre endroit pour s'enfuir...Puis elle entendit un des hommes dire qu'il fallait la tuer...Cerralia, ralentit l'allure et regarda le jeune homme qui venait de dire ça, elle tenait toujours son épée fermement dans sa main droite, elle la mit sous la gorge du jeune et lui dit froidement:

"Avant que vous puissez le faire, soit vous serez mort soit je ne serais plus là!"

Puis elle rengea son épée, elle n'avait pas l'intention de tuer ce jeune homme car pour le moment il ne l'avait pas touché....et elle savait que même si Suladan et ses hommes n'aimaient pas la jeune Corsaire, ils étaient du côté sombre...Puis elle regarda Suladan lui parler et eut un sourire moqueur:

"Je ne vous suit pas, loin de là, je cherche juste à pieger nos chér collégue du Gondor!"

Elle eut un sourire plein de malice...Et elle regarda devant...en effet il y avait plus d'issu..C'était la fin du quartier, il y en avait un autre vers la droite...Elle écouta les hommes de Suladan qui commencaient à paniquer et qui étaient étonnés de ce que venait de dire leur chef...La jeune femme regarda les hommes et dit:

"Hum..
Quels peureux vous faites!"

Elle eut un rire moqueur puis elle regarda les hommes qui étaient devant elle....Cerallia leur fit un signe de main et dit:

"Au revoir!
Je suis sur que l'on se reverra!"

Les gardes n'avaient pas été assez rapide..Ils étaient pas encore arrivé vers la fin du quartier...Cela laissait la voix libre à la jeune femme....Celle ci prit son élan et sauta du toit, elle s'accrocha avec élégance a une petite affichette qui se balancait avec le nom d'une auberge...Elle lacha et attérit sur des bidons...Elle regarda derriére elle, les gardes arrivaient mais ils étaient bien trop long, quoi qu'elle remarqua un homme qui dépassait tous les autres...Elle rengea son épée, prit son carquois, placa une fléche, banda et visa l'homme...Elle l'atteidn en plein ventre...il s'écroula blessé..

La jeune femme eut un rire, et elle rengea tout, resortit son épée et se remit à courir...Elle birfurqua à droite...Elle était dans un nouveau quartier....beaucoup plus sombre...et ressemblait plus au mauvais coin de la ville...Les maisons étaient trés hautes...Et la jeune fille essayait de trouver une solution pour monter sur les toit...Elle remarqua un balcon au dessus de sa tête....Elle avait mit une corde dans son sac..Elle l'attacha rapidement à une fléche...Elle reprit son carquois, tira vers le balcon....La fléche ne s'enroula pas du premier coup...Cerallia soupira et recommenca, la deuxiéme fois fut la bonne...Elle rengea le carquois et grimpa a la corde...Une fois sur le balcon, elle rengea sa corde et grimpa sur le toit car celui ci n'était pas trés haut:

*J'ai réussit!*

Ce dit elle...Et elle regarda les hommes de Suladan derriére elle qui la regardait...Elle était bien trop habile et répide....Puis la jeune femme regarda en bas les gardes qui bloquaient toutes les sorties et qui la pourchassait....La Corsaire aimait bien quand on la pourchassait...De toute façon....elle savait que certains gardes, qui la suiraient, tomberait dans le piége...qui les ménerait à la mort....La jeune femme avait quand même était assez étonée et un peu impressioné de l'atitude et de la fermeté du lieutenant elle se dit en y repensant:

*Il ferait un trés bon allié!
En plus il est charmant!*

Suladan la regarda partir puis se reconcentra sur ses hommes.
"Aujourd hui mes amis ,nous allons etre mis a l'épreuve .."

Il arracha son autre manche qui lmaissa apparaitre son tatouage signe de son statut et cela suffit a redoner confiance aux hommes.
Il attrape l'homme bléssé et le met sur son dos il le maintient grace au bout de tissu.

Il sort ses 2 poignard accroché a sa ceinture dans son dos ,tout le mone limite.Il passe sur le coté et desecendent les soldats se precipites tous de suite sur eux mais ils ne leurs laissent pas le temps de les atteindre et se mettent eux aussi a courir il rentre dans une maison et devalent les escalier pour arriver à une grand fenetre qui brise ils tendent la tete et regarde les bouts de verres tomber dans le vide le vent faisant voler leurs cheveux et leurs chales.

Suladan soufle un garnd coup et fait un demi tour dans le vide ,il plante aussitot ses poignards dans les fissures de la structure de pierre.Les autres le suivent et les soldats regardent la scene bete sous le bruit du grincement insuportable de la pierre.

Ils devalent comme ca sur 40 m et les hommes 3 m avant la reception se decole du mur et se laisse tomber en terminant par une roulade.Ils sont descendu d'un etage et son a nouveau sous un toit.

Suladan dont les bras sont en feu a du mal a ralentir la chute des 2 avant d'arriver il lachent l'homme pour qu'il puisse avoir une reception correcte mais lui glisse et tmbe devalant le toit et tomabnt 10 m plus bas dans la rue.

Le bras en sang et la cheville abimée ses hommes le rattrapent et ils fillent tous a l auberge.

Pendant ce temps, le lieutenant fouillait la maison en compagnie de ses hommes avec autant de minutie que possible.

Ils avaient trouvé le cadavre du propriétaire et constaté la mort. Le lieutenant était penché sur lui et dégageait son visage.

Lieutenant : "Et bien... Notre amie sème les cadavres partout où elle passe... Qui est ce ?"

Aucun des soldats ne fut capable de le dire.

Il se le va et fit quelque pas, se massant les tempes très préoccupé. Il remarqua les taches de sang sur le sol qui s'arrêtaient à l'endroit où Sulladan avait bandé le genou de l'homme de sa suite.

Le lieutenant observait pensivement le sang pendant que les soldats fouillaient le reste de la maison.

*Lieutenant : "Mmm. Voilà où s'arrête cette piste, une maison avec un mort dedans... Ce sang n'est pas celui du mort, il est trop loin pour que ce soit lui.
Mais alors si c'est elle qui était blessée, c'est ici qu'elle a pansé ses plaies. Pourtant je vois mal comment on peut faire des galipettes pareilles en étant blessé...
Le peu de temps que j'ai pu la voir elle ne m'a pas paru touchée, vraiment bizarre...
Et puis à qui appartient cette maison ?" *

Plongé dans cet abîme de questionnement, le lieutenant en fut tiré par l'appel d'un de ses hommes.

Soldat : "Mon lieutenant ! Venez voir !"

Il alla voir son homme qui lui montra une fenêtre ouverte qui menait au toit, celle par laquelle Sulladan était passé avec ses hommes.

Il s'approcha et la regarda attentivement. Il faisait très noir alors il ne vit rien : aucune trace du passage des Haradrhim n'était visible, mais il dit tout haut.

Lieutenant : "Tiens tiens... Comment se fait-il que notre oiseau ne soit pas envolé en passant par ici ? Il semble qu'elle aime se battre, c'était plus simple de passer par là..."

Il se mit soudain à pester.

Lieutenant : "Rahh trop de questions et pas de réponse !
Reste à savoir à qui appartient cette maison, la décoration en est singulière, voire peu commune pour un citoyen du Gondor..."

Soldat : "On ira vérifier ça dans le registre du guet..."

Comprenant qu'il ne trouverait rien de plus cette nuit, il finit par sortir avec ses soldats. Il dit à deux d'entre eux.

Lieutenant : "Vous deux restez ici. Gardez cette maison et interceptez moi tous ceux qui veulent y entrer. Restez à l'intérieur et ne vous faites pas voir."

Il s'apprêtait à remonter à cheval lorsqu'un soldat du guet arriva en courant et reprennant son souffle il lui raconta la fuite de Cerallia.

Il eut un geste de dépit.

Lieutenant : "Cette fille est un démon ! "

Le soldat lui compta ensuite la fuite de Sulladan et ses hommes.

Lieutenant : "Décidément il erre de drôle d'individus la nuit dans les rues de notre belle cité...
Bon, le jour va bientôt se lever. Nous ne pouvons pas mettre la ville sans dessus dessous, l'activité va reprendre. Alors levez tous les barrages, nous avons perdu cette manche, il faut l'admettre...
Emmenez les blessés au dispensaire et amenez les mort au corps de garde, si nous ne parvenont pas à identifier celui que nous avons trouvé dans la rue, j'irai voir personnellement ce marchand en ville pour lui demander s'il le connait, pour l'autre nous verrons si c'est le propriétaire ou pas...
Pour l'heure je suis fatigué, je vais dormir. S'il y a du nouveau, n'hésitez pas à me réveiller.
A tout à l'heure"

Et le lieutenant enfourcha son cheval prenant la route de la caserne pour rejoindre ses quartiers.
Il avait l'esprit empli de questions, mais ressentait cette délicieuse excitation que ressente toujours les représentants de l'ordre en face d'une affaire compliquée à résoudre...

La jeune femme continuait de courir sur les toits, de sauter de toits en toits, de grimper pour atteindre les toits les plus hauts...Elle s'arrêta un petit peu..Cerallia se retourna pour voir si il y avait toujours les gardes ou Suladan et ses hommes...Elle ne vit pas Suladan tomber, ni ces hommes le transporter jusqu'à une auberge...Et les soldats du Gondor étaient maintenant que des petites silhouettes qui bougeaient dans tout les sens à la recherche de leur proie : qui n'était autre que la jeune Corsaire...Celle ci souriait de mépris envers les gardes...Elle remarqua toujours le lieutenant enfourcher son cheval et lui et certains de ses hommes repartire vers la caserne....La jeune Tesk avait la voix libre...Elle n'avait pas non plus l'intention de dormir dehors..Elle était quand même un peu fatiguée car il faisait nuit depuis plusieurs heures et elle n'avait pas fermé l'oeil....Puis elle repensa a son étalon qu'elle avait laissé:

*Il faut vite que j'aille le récupérer avant qu'on me le prenne

Elle reprit sa course mais dans le sens inverse...Elle sauta de toits en toits et sauta sur le balcon sur lequel elle s'était déjà rendue...Cerallia sauta dans la rue et se mit à courir en direction du lieu où elle avait laissé "ténébre"...Elle bifurqua à droite en faisant bien attention de ne pas tomber sur Suladan ou les gardes de la cité..Elle arriva sans encombre vers le lieu où elle avait laissé le cheval...Elle ralentit l'allure pour se faire discréte et marcha silencieusement pour récupérer l'étalon...mais arrivé là bas....plus d'étalon..Il n'y avait plus aucun cheval....La jeune femme pesta et serra les poigns...Comment avait elle put être aussi nulle d'avoir laisser un si bel étalon seul, attaché dans les rues de cette cité...Elle se mit à marcher pour revenir sur ses pas..Et se mit à siffler pour appeler "ténébre"...Elle entendit plusieurs hénissement...

Cerallia se mit à courir vers là où elle entendait les hénissements...Avec un peu de chanson, son étalon était là..Elle arriva devant une grande porte où les hénissements étaient de plus en plus forts....La jeune femme comprit que les chevaux étaient enfermé là...Soit on lui avait volé...soit...c'était là qu'on mettait les chevaux abandonnés...Elle essaya d'ouvrir la porte mais bien évidemment celle ci était fermé...Elle observa attentivement la serrure...La jeune Corsaire était une voleuse, elle avait donc apprit à crocheter les serrures...Elle sortit de son sac un mini fil de fer argenté...Elle lui fit une forme assez étrange ; celle de la cerrure, et le mit dedans..Puis elle tourna le fil plusieurs fois et il y eut enfin un "clic"...

La Corsaire ouvrit la grande porte en bois et avant d'entré, elle regarda derriére elle si personne ne la surveillé...Puis elle entra dans le lieu qui puait le foin....Il y avait pleins de boxe....Et à son arrivée une tonne de hénissement se firent entendre...la jeune femme essayait de les faire taire car elle n'avait aucune envie de se faire reperer.....Puis elle appela discrtément:

"Ténébre...où es tu?"

Un lourd et grave hénissement se fit percevoir tout au fond , au dernier boxe....Cerallia se mit à courir dans cette direction...et réussit à distinguer son étalon dans l'obscurité...Elle ouvrit le boxe...et au moment où elle s'apprétait à détacher le cheval, des bruits de pas et des éclats de voix se firent entendre....Le coeur de la jeune Femme se mit à battre...Elle avait refermée la porte mais cela se verrait que la cerrure avait été crocheté et elle n'avait aucune envie de se retrouver enfermé ici ou de se faire reperer et être prisonniére de cette citée...Elle détacha vite son étalon...Et ouvrit en grand le boxe....

Cerallia monta sur "ténébre" et lui dit de foncer....Ce qui fit imédiatement ; lui non plus n'avait pas envie de se retrouver enfermé là....Il donna un coup de sabot sur la porte qui s'ouvrit en grand et vit un grand "boom"...Et un cris de douleur se fit entendre....Une personne était juste en train de vouloir ouvrir la porte et elle s'était fait a moitié assomée...La jeune Corsaire fit avancer son étalon et remarqua l'homme par terre, elle lui dit d'une voix pleine d'hypocrésie, puis plus dure:

"Oh excusez moi!
Mais vous ne m'avez pas vu! Ce cheval est le mien! Soyez heureux que je vous punisse pas de me l'avoir voler...
Et si vous être un sale mouchard vous risquez de le regretter fermement!
Adieu!!! Je n'ai jamais existé!!"

Elle eut un rire sonore et savait que l'homme avait eut peur de ses menaces....Il se leva et partit en courant...Cerallia donna un petit coup de talon à son étalon pour lui dire de détalon et celui ci obéit rapidement...Il bifurqua dans une rue sombre...Il fallait absolument que la jeune femme trouve une auberge pour la nuit...car dormir dehors ou dans des maisons abandonnées étaient trop risqués...Mais il fallait que ce soit une auberge pas du tout fréquentable....Pour que personne du Gondor ne puisse s'aventurer...Elle murmura à son étalon:

"Eméne moi dans une auberge où personne ne pourra nous trouver!"

L'étalon se cabra et partit au triple galot dans les rues infernales de la cité....La jeune Corsaire laissait faire son cheval, elle lui faisait confiance...Une demie-heure aprés, il s'arrêta devant une auberge ave cun nom bizarre....La rue était la plus sombre de la ville....la moins fréquentable...Cerralia eut un sourire de reconnaissance et caressa "ténébre" qui était tout fiér..Puis elle déscendit de cheval et sans même taper à la porte, elle l'ouvrit pour entrer dans l'auberge....Celle ci était assez petite et il y avait des créatures de toutes sortes....Toutes du côté sombre....la jeune Corsaire ne vit pas tout de suite Suladan et se shommes, d'abord un homme d'une grande taille, avec une immence barbe rousse, des cicatrices sur tout le visage vient la voir:

"Bonjour jolie demoiselle!
Qu'est cqui vous amméne?"

"Jvoudrais une chambre pour la nuit!
Et une jvoudrais manger aussi!
Et vous pourrez mettre mon cheval à l'abris"

"Il me reste encore quelques chambres, je vais allez vous en préparez zunes: Et assayez vous on vous zaporteras à manger! Et ne vous inquiétez pas pour votre chval!
Mais pourquoi vnir ici, dans ct'auberge?"

"Ca ne vous regarde pas!
Mais merci pour la chambres et le diner, et pour mon animal, je vous fais confiance...!"

Rétorqua Cerallia

"De rien jolie demoiselle!"

Répondit l'aubergiste qui étonnée qu'une femme est autant de répartie....Il installa Cerallia à une table prés de celle où il y avait Suladan et ses hommes...La jeune femme vit arrivé quelqu'un par les chambres...C'était Suladan...

(hj : Suite dans l'auberge de la cité d'argent)

[HJ: Attendez vos checks avant de poster, s'il-vous-plait, et merci de faire des messages de plus de cinq lignes, c'est un grand minimum! ]

kiradin arriva apres un long voyage devant les grandes portes de Minas thirit
il cria :

-kiradin Rockist je suis ici pour travailler,je suis un homme

il attendit quelques secondes et le soldat répondit :

-êtes vous armer ?

kiradin répondit : oui un arc et une épée !

-tres bien ! vous pouvez entrer...

kiradin s'engoufra dans l'immense ville avec l'éspoir....